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Confins 2

Le 30 octobre 2020

Il y a du nouveau9, Rue de l'Hôtel-Dieu à Nîmes ! Ça s'appelle le Vaisseau !

C'est un lieu de partage, d’activités culturelles et sociales, artistiques et plein d'autres comme des réponses à de multiples besoins du moment.

Je ne pensais pas en venant voir ce lieu, sur la proposition de Richard, le 15 septembre dernier, que j'allais choisir un local dans cet ancien immeuble de bureaux du Conseil Général du Gard et m'y installer aussi vite.

Je ne savais pas non plus qu'on allait connaître une reprise, un renvoi entre les frontières des confins et qu'il y aurait un épisode 2.

J'avais crée ce petit site pour raconter les choses que j'avais envie de partager.

Et puis, c'est de nouveau d'actualité.

Je reviens avec un environnement nouveau, des personnes à découvrir. Cela dégage l'horizon, fait regarder les difficultés d'un autre œil.

Ça tombe bien, je m'intéresse à ce qui se passe quand les choses changent.

Il suffit pour voir comment "fonctionnent les choses" de les expérimenter, de sortir, en quelque sorte, de son confinement. Choisissez la page qui vous plaît et regardons, écoutons, analysons ce qui vous intéresse !

A l'origine, le confinement. Maintenant, on continue, on ne sait jusqu'à quand

Ce site, fait pour se parler, est aussi à lire.

Sans se presser, justement.

Ce qui m'intéresse et m'amuse dans les confins, c'est ce qui se passe au milieu.

S'enrichir en approchant de ce qui nous sépare.

Je n'ai pas dit de quoi. Faudra explorer...

L'esprit qui souffle ici ne se pare d'aucune ostentation, tout au plus d'une ostension, au sens où l'emploie Julien Gracq dans le Rivage des Syrtes : Action de montrer, de se montrer. La chambre s'envolait. Mes yeux se rivaient à ce visage, jailli du collet tranchant de la cuirasse dans une phosphorescence d'hydre neuve et de tête coupée, pareil à l'ostension aveuglante d'un soleil noir (Gracq, Syrtes, 1951, p.117).

Ouh là là !

Oui, ça c'est juste pour commencer et puis, après, c'est juré, on fera simple !

Entre cultures et rigolades, il y a de la place.

A question unique, manières de la poser multiples !

Quant aux réponses, elles sortent comme violettes au printemps, pas toutes aussi jolies.

Passant tous ensemble dans ce tunnel, on se rencontrera, différents, différemment !

Aurais-je appris de vous, auriez-vous appris de moi, que ce temps aura été riche.

Que son écho nous soutienne, comme le rire d'un ami !

Je vous offre la visite de quelques territoires.

Photographie